

Le Seigneur
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Pierre Raymond IV de Rabastens


Père : de RABASTENS Pierre Raymond III (346148) (1310 - 1378) (Age à la naissance de l'enfant : 50 ans)
Mère : de MARESTAING Bourguine (346149) (1340 - 1412) (Age à la naissance de l'enfant : 20 ans)
Naissance :
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Date : autour de 1360
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Lieu : Campagnac
Décès :
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Date : avant 1421 (61 ans)
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Lieu : Mézens
Titres : Seigneur de Mézens et de Campagnac, Capitaine Royal de Puycelsi


La femme du Seigneur
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Mascarose de Mauléon
Père : Arnaud Guillaume II (auteur de la 2e maison) de MAULEON, Seigneur de Mauléon-Barousse
Mère : Hélène FORT, Dame Hélène de Belpuech
Naissance :
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1365
Décès :
-
date inconnue
Frères et sœurs : Géraud châtelain du Val d’Aran de MAULEON Seigneur de Mauléon-Barousse, Bertrand de MAULEON, Raymond Aton de MAULEON, Antoine de MAULEON et Jean de MAULEON
Titres : Dame de MAULEON
Notes : Epouse de Pierre-Raymond IV de RABASTENS, Seigneur de Mézens et de Campagnac
Enfants : Bourguine dite Bergue de RABASTENS, Pierre-Raimond V de RABASTENS et Firmande de RABASTENS



Les Chevaliers et Ecuyers
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Titre : Seigneur de Sanvensa et de Cabannes, Chevalier de Morlhon Valette
Naissance : Né vers 1380 à Séverac
Père : Jean Ier de MORLHON, seigneur de Sanvensa 1355-1398
Mère : Lombarde de MORLHON VEUSAC 1360
Marié en 1398 avec Catherine de ROQUEFEUIL
Soeur : Jeanne de MORLHON 1385-1442

"De gueules au lion d'or et 3 besans de même, deux en chef et un en pointe".
Devise : " Dieu, ma haute tour et forteresse "
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Pierre II de Morlhon



Les Sergents et Hommes d'armes
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Titre : Le routier
Surnom: "Le Fourbe"
Notes : Le Fourbe est un vile routier engagé par Pierre-Raymond IV qui lui avait, lors de sa capture alors qu'il essayait d'entrer de nuit dans Puycelsi, laisser le choix entre sa mise à mort ou entrer à son service contre logis et pitance.
Alors que les guerres s’étendent en Europe, l’on fait de plus en plus appel à des mercenaires. Ces aventuriers parcourent les routes en quête d’embauche et, moyennant finance, louent leurs services aux plus offrants ; tous les pays de l’Occident médiéval y ont recours.
En temps de paix, ces mercenaires se regroupent en clans et en bandes. Sans emplois, désargentés, parcourant les routes, ils vivent sur le pays à la grande frayeur des populations. On les surnomme des « routiers », parce qu’appartenant à une route. Ces meutes de brigands, d’écorcheurs et de malandrins sont appelées « Grandes Compagnies, et redoutées par les petites gens.
En ces époques mouvementées de l’Histoire, ce phénomène prend des proportions alarmantes. Parmi ces hommes, l’on trouve des serfs insurgés contre leur suzerain, des paysans loqueteux réduits à la misère, des soudards débauchés après les combats. Rameutés en clans, ils vivent de larcins et de pillages en tout genre.

Les autres personnages
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Titre : Maistre Queux
Notes : Je vis le jour en 1350 à Pont Audemer en Normandie.
Je devins enfant de cuisine et me perfectionnais dans ce métier.
Ami de la famille Tirel, leur fils Guillaume, qui officiait à Paris dans les cuisines royales, entendit parler d'un cuisinier de son village natal et me prit avec lui afin de m'apprendre le métier.
En 1381, le Roi Charles VI nomme Guillaume 1er écuyer de cuisine.
Il l'anoblit en 1392 en tant Maistre des garnisons de cuisine du roi.
Guillaume fit requête auprès du roi pour me recommander auprès de la famille de Rabastens où j'avais trouvé refuge lors d'un pèlerinage vers Saint Jacques de Compostelle. Le roi accepta et me nomma 1er écuyer de cuisine dans cette famille.
On me surnomma " Fendlair" en référence à "Taillevent" pour rappeler qui m'avait formé et d'où je venais.
En 1395, Pierre Raymont IV de Rabastens me nomma Maistre Queux pour bons et loyaux services et me garda à sa cour.
Plus tard, Guillaume Tirel devint Taillevent.
Je continuais de correspondre avec mon ami car nous avions plaisir à échanger nos recettes de cuisine.
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Perceval Laudemer dit " fendlair "
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Dame Lombarde de Morlhon
Parents:
Père: Pierre de Morlhon, Seigneur de Veuzac, Chevalier , décédé après 1341
Mère: Radegonde de Durfort, décédée
Union(s):
Mariée en 1386 avec Jean de Morlhon, Seigneur de Sanvensa et de Cabanes
Enfant(s):
Pierre II de Morlhon, Seigneur de Sanvensa ca 1380-1417
Jeanne de Morlhon 1385/1442
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Titre :
Notes :
Naissance :
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Aloïse de Gaillac
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Jeanne de Morlhon
Titre :
Notes : Soeur de Pierre II de Morlhon
Naissance : 1385
Décès : Décédé en 1442, âgé d'environ 57 ans
Parents : Jean Ier de MORLHON , seigneur de Sanvensa (Chevalier, hérite de son frère Fortanier la seigneurie de Savensa),Lombarde de MORLHON-VEUZAC
Conjoints, enfants:
Vers 1410, elle épousera Raymond VII de SAINT-MAURICE , décédé avant 1442 dont elle aura 2 filles:
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Marie de SAINT-MAURICE
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Marguerite de SAINT-MAURICE
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Titre :
Notes : Fille de Pierre Raymond IV de Rabastens et de Mascarose de Mauleon
Naissance : en 1385
Fille ainée de Pierre-Raymond IV de RABASTENS et de Dame Mascarose de MAULEON.
Elle est la sœur de Pierre Raymond V de RABASTENS né en 1390 (épouse Agnès de CARDAILLAC) et de Dame Firmonde de RABASTENS née en 1458 (époux Pierre IV d’ASTORG).
Elle a épousé Jean 1er de FOIX en 1405 (parents Corbeiran de FOIX & Dame Emengarde de VILLARS).
Ils ont eu deux enfants : Corbeiran de FOIX (marié à Cécile de COMMINGES le 15 octobre 1422) et Marguerie de FOIX (mariée à Guillaume Arnaud de BEON en 1415)
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Bourguine dite Bergue de Rabastens
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Roland Gustou
Notes : Tailleur / sculpteur de pierre et bois
Surnom: "Caillou"
Je m’appelle Roland GUSTOU. Je suis né le 23 septembre 1370 à Puycelci.
Dés l’âge de 10 ans, je suivais mon père sur les chantiers, il était artisan maçon tailleur de pierre.
A 17 ans, je partais sur les chemins pour diversifier mes connaissances, ce qui m’avait conduit un jour sur un chantier de la cathédrale Ste Cécile à Albi. J’y ai appris le travail sur la sculpture sur la pierre et le bois.
Après plusieurs années très enrichissantes, j’arrivais à Toulouse où la cathédrale St Etienne était en cours de construction. J’ai été embauché comme sculpteur, sous la direction de Jean, compagnon maitre sculpteur.
Jean avait un grand savoir, mais un penchant pour la chopine.
Tout se passait très bien pour moi, si bien que l’évêque a voulu me donner le poste de Jean qui se prenait plus de passion pour le vin que son travail.
Ce soir-là, Jean ivre de rage et d’alcool, est venu dans ma loge pour m’assassiner. Mais sa maladresse d’ivrogne a joué contre lui car c’est moi qui l’ai tué.
Il était certain que les compagnons me feraient porter tous les torts et très rapidement je finirais à la potence.
J’ai quitté Toulouse immédiatement, en emportant que les petits outils qui entraient dans ma sacoche de cuir.
J’ai repris la route, sous le nom de « Caillou », car la justice me recherchait.
Après plusieurs années passées dans l’Aveyron et la Lozère, je suis revenu vers Puycelci.
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Notes :